
Une poignée de députés, dont je fais partie, ont commémoré les attentats du 13 novembre 2015 en s'initiant lundi aux "gestes qui sauvent", pour inciter la population à se former.
Lorsque j'ai entendu le ministre de l'Intérieur annoncer l'objectif de 80 % de personnes formées, j'ai naturellement soutenu cette volonté là.
J'étais secouriste bien avant d'être députée.
Les sept députés participants ont reçu la même formation aux gestes de premiers secours qui est dispensée dans tous les départements depuis les attentats de 2015 : comment réagir aux situations exceptionnelles avec de nombreuses victimes (dégagement d'une victime, garrots, alerte des secours...) et à un arrêt cardiaque.